@Winsdorf
La meilleure :
@Winsdorf
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Une nouvelle réponse à l'éternelle question :
Peut-on trouver le bonheur dans notre vie de tous les jours sans partir vivre dans un monastère ou attendre le paradis ?
« La nature de l'être humain c'est d'être heureux » nous dit le Dr Etienne Jalenques.
Pour y parvenir, nous devons re-rentrer dans notre nature profonde alors que les circonstances extérieures, l'éducation, les religions nous ont en fait sortir pour nous adapter.
Le bonheur se vit dans le présent, peu importe son environnement, en s'aimant soi et en aimant les autres.
Qui sait si cette autre moitié de la vie où nous pensons veiller n'est pas un autre sommeil un peu différent du premier, dont nous nous éveillons quand nous pensons dormir ? (Pascal)
JAMAIS je ne traverse le pont d'Iéna sans m'accouder un instant au parapet. Était-ce ici ou plus loin ? Il me semble que c'était à peu près au milieu du pont, en regardant vers Saint-Cloud. Mon cousin me prenait sous les bras et me juchait d'un coup sur le rebord de pierre. Debout et la respiration coupée par l'effroi, je fermais les yeux et crispais les doigts. Alors la voix de Claude m'arrivait, un peu plus brève qu'à l'ordinaire : « Tu regardes ? Tu vois l'Île aux Cygnes ? Et Grenelle ? » Le vent emportait ma réponse quand il ne me contraignait pas d'avaler mes paroles. J'avais peur. Je sentais les mains de mon cousin trembler autour de mes chevilles qu'elles serraient trop fort.
Un léger vertige me saisissait lorsque je rouvrais les yeux. Le ciel au-dessus de ma tête se mouvait de droite à gauche, et les platane géants qui bordent le fleuve s'inclinaient, palpitants, et se redressaient dans le soleil. La Seine roulait majestueusement ses flots sales. Le long du port, des promeneurs indifférents à mon angoisse s'arrêtaient pour regarder l'eau et reprenaient leur marche en traînant les pieds. Un tas de sable ou de briques les cachait un moment, puis ils reparaissaient, mais ils semblaient si petits que mon coeur se contractait et que j'étais obligé de détourner la vue. [...]
(Julien Green, L'autre sommeil, 1931)
Où que tu ailles, tu t'emmènes toujours avec toi.
(Stephen King)
Marie Ventadour, Femme assise
@ClaClarks
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