Il n’y a rien de plus fort au monde que la douceur.
(Han Suyin)
Il n’y a rien de plus fort au monde que la douceur.
(Han Suyin)
Au contact de l’amour, chacun devient un poète.
(Platon)
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Pourquoi les dieux seraient-ils immortels ? En quoi l'immortalité rendrait-elle divin ? La pivoine est-elle moins sublime du fait qu'elle va faner ?
(Amélie Nothomb, Métaphysique des tubes)
Willy Ronis, né le 14 août 1910 à Paris et mort le 11 septembre 2009 à Paris, est un photographe français qui s'est consacré aux images prises sur le vif et en noir et blanc. Il est l'un des représentants les plus éminents de ce que l'on a appelé par la suite la photographie humaniste.
On est dans un château, Mouche a quinze ans, elle est assise devant un grand feu de bois dans une cheminée ancienne: les briques, les chenêts, le tisonnier sont ses instruments, elle se chauffe, elle entre dans le feu, Ronis est assis par terre derrière elle, juste où il faut pour faire éclater sa beauté. C'est une jeune sorcière, une magicienne, elle a des pouvoirs cachés. Comme toujours, Ronis trouve une courbe inattendue et puissante (l'arc de la cheminée, la colonne vertébrale éclairée). D'où sort cette beauté ? Du Songe d'une nuit d'été de Shakespeare ? Nous sommes en hiver ? En été ? Mais quand ? Où ? Avec qui ?
1946 - Mouche - Neuilly Saint Front
"Les nus de Willy Ronis, dans leur extraordinaire naturel, sont sacrés". (Philippe Sollers)
Voici la plus grande photo panoramique obtenue par assemblage : il aura fallu 2346 clichés pris par Arnaud Frich et Martin Loyer pour élaborer, avec la société Kolor, cette vue gigantesque de plus de 26 milliards de pixels !
C’est ici que ça se passe, cliquez > là !
La navigation y est relativement simple, suivez les instructions données au départ … on peut zoomer à loisir dans la photo.
Peut-être même parviendrez-vous à repérer la dizaine de facéties qui ont été ajoutées, parmi lesquelles une tortue sur une terrasse, une marmotte, une grenouille, un reblochon, des ovnis, etc.
La beauté sauvera le monde.
(Fiodor Dostoïevski)
Le printemps est beauté et le monde renaît soudain. La beauté a ce pouvoir magique de ressusciter les âmes, de convertir le mal en bien. Le beau c’est la sublimation du mal. Telle est l’origine de l’art qui transforme les expériences terribles de la vie en un acte positif, qui accomplit cette curieuse transmutation, la seule possible. L’art est alchimique dans son essence. « Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or », comme le dit Baudelaire.
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