Eriger un tipi c’est recréer le monde, c'est reproduire le monde.
Tout d’abord, on crée une étoile avec les trois premières perches.
La fondation du monde est une étoile. Sa forme intérieure véritable est un cristal de lumière, un tourbillon de lumière.
« Une fois l’étoile réalisée, parce que nous sommes centrés, alors nous pouvons orienter notre monde. Avec les sept perches suivantes, nous repérons les sept directions.
Ces dix perches représentent une morale cosmique basée sur le « respect mutuel » inhérent à toute chose de la nature.
Il s’agit là de l’éthique qui fonde notre tiospaye [tribu].
Puis les deux dernières perches soutiennent les « oreilles » qui maîtrisent l’entrée du vent dans le tipi. Ainsi le tipi et le monde peuvent inspirer et expirer, communiquer avec les pouvoirs supérieurs.
« Voilà qui fait douze perches, symboles des douze mois et, en d’autres termes, des saisons et du cycle de la vie. »
(Norbert Running, homme-médecine à la réserve sioux de Rosebud)
Cette maison était comme une tanière souterraine, avec un emplacement pour dormir, un autre pour le feu, un autre pour une vingtaine de livres.
(Mario Rigoni Stern)
Pour plus d'informations sur les kotas, lire le commentaire n° 4 !
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