Je pense que si j’ai créé l’École du cirque, c’est parce que je m’appelais Fratellini. Sur les quarante-cinq personnes que compte la famille, il devait un jour se lever quelqu’un qui dise : "Moi aussi, je vais transmettre."
Mon père m’emmenait presque chaque jeudi à Médrano. Il répétait : "Quel dommage que tu ne sois pas un garçon, tu pourrais être un clown."
(Annie Fratellini, 1932-1997)