Sur les hauteurs du Tibet, d’un temple à l’autre, les carillons se répondent.
Dans l’Empire Céleste, placés à tous les portails, ils font office de sonnette. Tous font entendre la petite musique du vent qui s’engouffre dans les tubulures métalliques et les entrechoque comme des milliers de clochettes.
Placé à une porte ou à une barrière, ce carillon venu de Chine signale une visite et l’accompagne de sa mélodie de bienvenue !
Suspendu à un arbre dans le jardin, il laisse au vent le choix de ses harmonies ...
Une de mes amies m’en a offert un et j’aime écouter le vent et les courants d’air le faire tintinnabuler.