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28 juin 2011 2 28 /06 /juin /2011 22:01

 

 

Il faut penser ; sans quoi l'homme devient,
Malgré son âme, un vrai cheval de somme.
Il faut aimer ; c'est ce qui nous soutient ;
Sans rien aimer il est triste d'être homme.

 

Il faut avoir douce société,
Des gens savants, instruits, sans suffisance,
Et de plaisirs grande variété,
Sans quoi les jours sont plus longs qu'on ne pense.

 

Il faut avoir un ami, qu'en tout temps,
Pour son bonheur, on écoute, on consulte,
Qui puisse à notre âme en tumulte,
Les maux moins et les plaisirs plus grands.

 

Il faut, le soir, un souper délectable
Où l'on soit libre, où l'on goûte à propos,
Les mets exquis, les bons vins, les bons mots
Et sans être ivre, il faut sortir de table.

 

Il faut, la nuit, tenir entre deux draps
Le tendre objet que notre coeur adore,
Le caresser, s'endormir dans ses bras,
Et le matin, recommencer encore.

 

(Voltaire)

 

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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 22:01

 

« Pourquoi est-ce à toi, jeune mère, que j'adresse ces remarques ? Et la stratégie de l'apocalypse te concerne-t-elle personnellement ? Eh oui, elle te concerne ! La guerre a cessé d'être l'affaire exclusive des mâles, et des mâles adultes. Elle ne fait plus de discrimination entre les sexes et les âges. Les premières lignes de la guerre atomique sont partout où un être respire, et le fils que tu berces sur les genoux est déjà sa recrue. Ce fils, je te le répète, a reçu dans son bagage héréditaire la capacité du suicide collectif, et c'est toi qui la lui as transmise, toi la contemporaine du "baby de Potsdam" (la bombe nucléaire d'Hiroshima ...) Mais en même temps et en contrepartie, tu lui as transmis une dignité neuve et merveilleuse ; il est, il sera responsable de la vie sur le seul astre, en tout cas le seul du système solaire, où la vie existe.

 

Il est divin, ton fils. Apprends-le lui ...

  

Responsable de la vie ... Qui vient de me souffler cela ? La Mémoire.

 

« Les uns sont responsables de la Vie. Nous en sommes. Les autres sont responsables de la mort et devraient être nos seuls ennemis. » Ces mots de Paul Eluard, écrits en 1916, sonnent, après un demi-siècle, prophétiquement. Prépare donc ton fils à exercer cette suprême responsabilité. Toi seule peux lui apprendre, tout de suite, pendant qu'il balbutie encore et découvre le monde, à aimer ce qu'il doit sauvegarder ; toi seule peux le former, avant toute étude, à aimer la vie. Ne te remets pas de ce soin à des maîtres ; il serait trop tard. Avant qu'il sache que l'atome se brise, apprends-lui à s'émerveiller, comme toi-même à son âge, du vol des insectes, des couleurs du ciel et des douceurs de l'eau. Etale sous ses yeux, plume à plume, la perfection irisée d'une aile d'oiseau ; ne perds aucune occasion d'admirer devant lui la fleur, le bourgeon et l'écorce. Que peler un fruit lui soit, près de toi, une fête. Avant qu'il sache que l'homme tue, apprends-lui le respect pour tout visage humain, l'amitié pour toute main humaine. L'enfant commence par imiter. Jamais, en sa présence, ne laisse percer ennui, dégoût ou mépris pour aucune chose qui vit ou aucun geste utile à la vie. Tu n'as pas mis ton enfant au jour pour qu'il meure, mais pour qu'il transmette. Ne pas lui insuffler l'exaltation de vivre au milieu de la nature vivante, c'est te renier toi-même, renier ta fonction dans l'espèce, renier l'acte par lequel tu as donné vie à cet homme de demain. »

 

(Maurice DRUON, Lettres d'un Européen, 1970)

 

 

 

 

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13 juin 2011 1 13 /06 /juin /2011 22:01

 

 

 

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11 juin 2011 6 11 /06 /juin /2011 22:01

 

Nous allons porter les yeux au-delà de l’infamie, pour deviner un autre monde possible.

Un autre monde où :

L’air sera exempt de tout poison qui ne viendra pas des peurs humaines et des passions humaines,

Dans les rues, les automobiles seront écrasées par les chiens,

Les gens ne seront pas conduits par l’automobile, ni programmés par l’ordinateur, ni achetés par le supermarché, ni regardés par la télé,

Le téléviseur cessera d’être le membre le plus important de la famille, et sera traité comme le fer à repasser ou la machine à laver,

Les gens travailleront pour vivre au lieu de vivre pour travailler,

On introduira dans le code pénal le délit de stupidité, que commettent ceux qui vivent pour posséder ou pour gagner, au lieu de vivre tout simplement pour vivre, comme un oiseau chante sans savoir qu’il chante et comme un enfant joue sans savoir qu’il joue,

On n’emprisonnera plus les jeunes qui refusent de faire leur service militaire, mais ceux qui veulent le faire,

Les économistes n’appelleront plus niveau de vie le niveau de consommation, et n’appelleront plus qualité de vie la quantité de choses,


Les chefs de cuisine ne croiront pas que les langoustes adorent être bouillies vivantes,

Les historiens ne croiront pas que les pays sont enchantés d’être envahis,

Les politiciens ne croiront pas que les pauvres sont enchantés de se nourrir de promesses,

La solennité cessera de croire qu’elle est une vertu, et personne ne prendra au sérieux l’individu incapable de rire de lui-même,

La mort et l’argent perdront leurs pouvoirs magiques, et le décès ou la fortune ne feront pas d’une canaille un homme vertueux,

Nul ne sera considéré comme un héros ou un imbécile parce qu’il fait ce qu’il croit juste au lieu de faire ce qui lui convient le mieux,

Le monde ne sera plus en guerre contre les pauvres, mais contre la pauvreté, et l’industrie de l’armement n’aura plus d’autre solution que de se déclarer en faillite,

 

La nourriture ne sera pas une marchandise, ni la communication un commerce, parce que la nourriture et la communication sont des droits humains,

Nul ne mourra de faim, car nul ne mourra d’indigestion,

Les enfants de la rue ne seront plus traités comme s’ils étaient de l’ordure, car il n’y aura pas d’enfants de la rue,
Les enfants riches ne seront plus traités comme s’ils étaient de l’argent, car il n’y aura pas d’enfants riches,

L’éducation ne sera pas le privilège de ceux qui peuvent la payer,

La police ne sera pas la malédiction de ceux qui ne peuvent l’acheter,

La justice et la liberté, sœurs siamoises condamnées à vivre séparées, seront à nouveau réunies, épaule contre épaule,

Une femme noire sera présidente du Brésil et une autre femme, noire, présidente des Etats-Unis ; une Indienne gouvernera le Guatemala et une autre le Pérou,

En Argentine, les folles de la place de Mai – las locas de la plaza de Mayo – seront un exemple de santé mentale, car elles refusèrent d’oublier à l’époque de l’amnésie obligatoire,

Notre Sainte Mère l’Eglise corrigera les erreurs des Tables de Moïse, et le sixième commandement ordonnera de fêter le corps,

L’Eglise dictera aussi un autre commandement que Dieu avait oublié : « Tu aimeras la nature, dont tu fais partie »,

Les déserts du monde et les déserts de l’âme seront reboisés,

Les désespérés seront espérés et les égarés seront retrouvés, car ce sont eux qui se désespérèrent à force d’espérer et qui s’égarèrent à force de chercher,

Nous serons les compatriotes et les contemporains de tous ceux qui voudront la justice et qui voudront la beauté, quels que soient l’endroit où ils seront nés et l’époque où ils auront vécu, sans accorder aucune importance aux frontières de la géographie ou du temps,

La perfection restera l’ennuyeux privilège des dieux, mais, dans ce monde fou et foutu, chaque nuit sera vécue comme si elle était la dernière et chaque jour comme s’il était le premier.

(Eduardo Galeano)

 

Eduardo Hughes Galeano, né en 1940 à Montevideo, est un écrivain et journaliste uruguayen, célèbre pour avoir écrit « Les veines ouvertes de l'Amérique latine ».

 

 

 

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 22:01

 

 

C'est dur d'être reconnue

 

Quand j’étais jeune mariée, j’appréciais cette nouvelle vie de couple et ceux qui avaient un enfant me disaient : « Tu verras comme les choses sont différentes quand on est trois ; prends les bons moments maintenant, ça ne va pas durer ! »


A la naissance de mon premier enfant, surprise par les charges nouvelles, mais comblée, j’entendais : « Un enfant, ce n’est rien du tout, tu verras quand tu en auras deux ; les choses sont vraiment différentes ! »

 

Quand un deuxième bout de chou arriva, la même rengaine : « Tu te rends compte, celles qui en ont trois ! »

 

A la naissance de mon troisième enfant, les remarques ont été moins fréquentes. Je pensais que j’étais enfin reconnue comme femme active dans notre société. Mais, parlant de problèmes de la petite enfance, j’entendis : « Petits enfants, petits soucis, grands enfants, grands soucis ! » 

 

Quand ils n’étaient pas encore scolarisés, on me parlait des fameux devoirs ; maintenant qu’ils le sont, on me parle de classes secondaires beaucoup plus difficiles et de la fameuse adolescence, absolument horrible ; j’ai même entendu une mère se réjouir du prochain départ de sa fille de 19 ans qu’elle ne supporte plus.

 

En ce qui concerne l’expérience, les femmes de 30 ans font des théories à celles de 20 ans, les femmes de 40 ans les font aux femmes de 30 ans, etc. etc.

 

Donc, si je comprends bien, quand j’aurai 100 ans et six enfants de 80 ans, on m’écoutera !!! 

 

(Lauriane Vuadens)

   

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18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 22:01

 

 

La dame et le chevalier étaient dedans la chambre, en un même lit, sans dormir, dans une telle joie et tel bonheur qu’il vaut mieux ne pas les décrire, ni que nul n’entende le récit s’il ne peut espérer lui-même atteindre à cette joie que l’Amour donne aux parfaits amants, en contre-partie de la peine. Celui qui n’attend pas ce bonheur n’y entendrait rien, puisqu’il n’a pas le cœur à l’Amour : nul ne peut imaginer, à quelque prix, ce que vaut une telle joie, si l’Amour ne lui fait savoir. Cette chance n’advient pas à tous : c’est une joie sans mélange, une félicité et un ravissement. Mais à l’amant, ces instants semblent toujours trop courts et ne lui paraîtront jamais assez longs ; même si la nuit devenait semaine et la semaine mois, et si le mois devenait an, et trois ans vingt, et vingt ans cent, quand enfin viendrait le terme, il voudrait encore une nouvelle nuit, au lieu de l’aube du jour.

 

(XIIIème siècle, Anonyme, La Chastelaine de Vergi)

 

 

 

 

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14 mai 2011 6 14 /05 /mai /2011 22:01

 

Un écolier vint trouver son professeur pour lui parler d'un problème :
- Je viens vous voir, car je n'ai pas la force d'affronter mon problème tout seul. Ils disent que je ne sers à rien, que je ne fais rien de bien, que je suis bête et idiot. Comment puis-je devenir meilleur ? Que puis-je faire pour qu'on m'apprécie ?

Le professeur, sans lui jeter un regard, lui dit :
- Je suis vraiment désolé mon garçon. Pour l'instant, je dois résoudre mon propre problème. Ensuite, peut-être ...

 

Faisant une pause, il dit :
- Si tu m'aides à résoudre mon problème rapidement, je pourrai peut-être ensuite t'aider à résoudre le tien.
- Bien sûr, professeur, dit le garçon. Mais il se sentit aussitôt dévalorisé.

 

Le professeur ôta un anneau de son petit doigt et lui dit :
- Prends ton cheval et va sur le marché. Tu devras vendre cet anneau pour moi car je dois rembourser une dette. Evidemment, tu devras en obtenir le maximum, mais ne le vends surtout pas en dessous d'une pièce d'or. Va et reviens avec l'argent le plus rapidement possible.

 

Le garçon prit l'anneau et s'en alla. Quand il arriva sur le marché, il commença à le proposer aux marchands. Ils paraissaient très intéressés et attendaient de savoir combien le jeune garçon en demandait. Dès qu'il parlait de la pièce d'or, certains éclataient de rire, d'autres partaient sans même le regarder. Seul un vieillard fut assez aimable pour lui expliquer qu'une pièce d'or avait beaucoup trop de valeur pour acheter une bague. Voulant aider le jeune garçon, on lui proposa une pièce de bronze, puis une pièce d'argent. Mais le garçon suivait les instructions de son professeur de ne rien accepter en dessous d'une pièce d'or, et déclina toutes les offres.

 

Après avoir proposé le bijou à tous les passants du marché, et abattu par son échec cuisant, il remonta sur son cheval et rentra. Le jeune garçon aurait voulu avoir une pièce d'or pour acheter lui-même cet anneau, libérant ainsi son professeur afin qu'il puisse lui venir en aide à son tour avec ses conseils.

 

Il arriva vers le professeur et lui dit :
- Professeur, je suis désolé, mais je n'ai pas réussi à obtenir ce que vous m'aviez demandé. J'aurais pu récupérer 2 ou 3 pièces d'argent, mais je crois que l'on ne peut pas tromper quelqu'un sur la valeur de cette bague.
- C'est très important ce que tu me dis, mon garçon, rétorqua le professeur en souriant. Tout d'abord, nous devons connaître la vraie valeur de cet anneau. Remonte à cheval et va chez le joaillier. Qui mieux que lui connaîtra sa vraie valeur ? Mais peu importe ce qu'il t'en offrira, ne le vends pas. Reviens ici avec mon anneau.

 

Le garçon alla trouver le joaillier et lui tendit l'anneau pour qu'il l'examine. Le joaillier le scruta à la loupe, le pesa et lui dit :
- Dis à ton professeur que, s'il veut le vendre aujourd'hui, je ne peux lui donner que 58 pièces d'or.
- 58 pièces d'or ! s'exclama le jeune garçon.
- Oui, répondit le joaillier, et je crois que dans quelque temps, je pourrai lui en offrir 70. Mais si la vente est urgente ...

 

Le garçon courut tout excité chez son professeur pour lui raconter ce qui s'était passé. Le professeur le fit asseoir et, après avoir écouté l'enfant, il lui dit :

- Tu es comme cet anneau d'or, un joyau de grande valeur et unique. Seulement, sa valeur ne peut être reconnue que par un spécialiste. Tu pensais que n'importe qui pouvait découvrir sa vraie valeur ?

Nous sommes tous comme ce bijou. D'une très grande valeur et uniques. Et nous allons sur tous les marchés de la vie en espérant que des personnes inexpérimentées reconnaissent notre valeur.  

 

Et tout en parlant, il remit l'anneau d'or à son doigt.

 

 

 

 

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 22:01

 

http://img11.hostingpics.net/pics/711443squoias.jpg  

A mesure que les séquoias croissent, ces arbres majestueux incorporent à leur structure fondamentale certains objets qui les entourent, y compris des pierres et des racines d’autres arbres. Bien que les séquoias aient des racines superficielles, ils se distinguent par leur robustesse et leur longévité, parce qu’ils partagent leurs racines avec d’autres. Chaque arbre individuel est invité à faire partie du tout, et, en retour, il contribue à soutenir le groupe entier. Cette forme d’adaptation a fait ses preuves, puisque les séquoias comptent parmi les plus vieux êtres vivants de la terre.

 

Nous avons besoin, nous aussi, pour survivre et nous épanouir, d’apprendre à partager nos racines avec d’autres, à demander des encouragements et du soutien quand nous en avons besoin et à en offrir à ceux qui viennent vers nous.

 

Quand nous tentons de créer des systèmes de soutien, nous devons avoir la certitude que les personnes avec qui nous choisissons de partager nos sentiments sauront les respecter. Le meilleur moyen de vous assurer que les autres sont dignes de confiance, c’est de demeurer sensible à ce que vous ressentez pendant que vous leur parlez. Si vous vous sentez comprise et en sécurité, vous avez probablement trouvé un bosquet de séquoias sur la même longueur d’ondes que vous.

 

(Sue Patton Thoele, Etre femme)


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30 avril 2011 6 30 /04 /avril /2011 22:01

 

Un matin, deux moines allaient vers leur monastère, quand ils trouvèrent une jolie jeune femme très peu vêtue, qui n’osait traverser le gué de la rivière, le courant étant très fort. Le plus vieux moine, bâti tout en force, la souleva dans ses bras et la transporta de l’autre côté.

Le long voyage se passa presque complètement dans le silence, les moines méditant en marchant. Mais le soir, en vue du monastère, le plus jeune des moines dit :

 

« - Quand même, ce matin, cette femme étaient très peu vêtue ! La règle de notre ordre nous interdit de toucher des femmes, et pourtant vous l’avez portée dans vos bras ! »

Le vieux moine répondit :

 

« - Je ne l’ai portée que quelques minutes dans mes bras, mais toi tu l’as portée toute la journée dans ton esprit. »

 

 

 

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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 22:01

 

Pour avoir des lèvres attirantes, prononcez des paroles de gentillesse.

Pour avoir de beaux yeux, regardez ce que les gens ont de beau en eux.

Pour rester mince, partagez vos repas avec ceux qui ont faim.

Pour avoir de beaux cheveux, laissez un enfant les ébouriffer au moins une fois par jour.

Pour avoir un beau maintien, marchez en sachant que vous n'êtes jamais seule.

Les gens, bien plus que les choses, ont besoin d'être réparés, renouvelés, revigorés, récupérés et rachetés. Ne rejetez jamais quelqu'un.

Pensez-y : si un jour vous avez besoin d'une main secourable, vous en trouverez une à chaque bout de vos bras.
En vieillissant vous vous rendrez compte que vous avez 2 mains, l'une pour vous aider vous-même, l'autre pour aider ceux qui en ont besoin.

La beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, son visage ou sa façon de coiffer ses cheveux.

La beauté d'une femme se voit dans ses yeux, car c'est la porte ouverte sur son coeur, l'endroit où est son amour.

La beauté d'une femme n'est pas dans son maquillage, mais dans la vraie beauté de son âme. C'est la tendresse qu'elle donne, l'amour, la passion qu'elle exprime.

La beauté d'une femme se développe avec les années.

(Sam Levenson,1911-1980)

 

 

On dit que c’était le poème préféré d’Audrey Hepburn …

 

 

 

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Je vous entraîne dans un petit voyage vers tout ce que j'aime et qui, d'après moi, rend la vie plus belle et plus douce ! Alors, suivez-moi sur mon chemin alicien ... 

 

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